Dans l’article ci-dessous, paru dans Paris-Normandie du 5 avril 2018 sous la signature de Christophe FREBOU, l’auteur de ces lignes a observé un phénomène intéressant…
A la fin du premier tiers de l’article, figure le sous-titre : « Franchir l’estuaire en train »…
Le lecteur s’attendrait à lire ensuite le développement du sujet évoqué par ce sous-titre…
Mais NON ! Quelques lignes avant la fin d’une partie de l’article représentant les deux tiers de celui-ci, on ne peut trouver qu’une seule phrase en rapport direct avec ce sous-titre : « Autrement plus ambitieux, ils (les cheminots, ndlr) appuient l’idée de franchissement ferroviaire de l’estuaire. »
A la différence du journaliste de Paris-Normandie et des cheminots, l’auteur de ces lignes va développer le sujet :
Commençons par de la correspondance remontant à l’année… 1998 !
Même courrier adressé au syndicat CFDT des cheminots à la même date comme mentionné dans la copie de courrier ci-dessus…
Si les syndicats CGT et CFDT des cheminots « appuient l’idée de franchissement ferroviaire de l’estuaire », ou cela fait jusqu’à une vingtaine d’années qu’ils appuient l’idée, sans résultat concret, ou ils viennent de se souvenir de cette idée…
Poursuivons…
Comment expliquer qu’un sous-titre n’introduise qu’une phrase en rapport direct avec le sujet ?...
L’auteur de ces lignes va s’aventurer à exprimer quelques conjectures que lui inspire son vécu au cours des vingt dernières années, à propos de la perspective de réalisation du franchissement ferroviaire de l’estuaire :
. Les autorités du Havre et de la Codah, à l’exception de l’avant-dernier maire de Gonfreville l’Orcher qui s’est, parfois, manifesté en faveur de ce… franchissement ferroviaire de l'estuaire de la Seine (FFES), ont admis que cette perspective est… inadmissible pour leurs « amis rouennais » (discussion préalable à la délibération n° 20110300 du Conseil communautaire de la Codah)…
On comprend qu’un journaliste de Paris-Normandie soit nerveux et prudent lorsque cette question est évoquée… Il vaut mieux se limiter à des paroles en l’air, si possible brèves et rares, quand il est question de coup d’épée dans l’eau…