Le dossier de classement des plages du Débarquement de 1944 sur la liste du patrimoine mondial de l'Humanité de l'UNESCO semble avancer plus vite que celui de créer un parc d'éoliennes marines de 71 machines à implanter en mer au large de Courseulles à 11,5 km des plages...
Lire, ci-après, cet article paru dans Ouest France le 20 janvier 2017:
Commentaire de Florestan:
Comme on le dit aussi dans le Pays de Caux, entre l'UNESCO et les éoliennes, ce sera"à plus fort la pouque!" car il est évident qu'on ne pourra pas faire les deux: en 2013, l'UNESCO s'était fermement opposée à l'arrivée des éoliennes sur toutes les collines encadrant la baie du Mont St Michel en menaçant de retirer son précieux label. On ne voit pas comment l'UNESCO aurait à poursuivre une autre logique avec les enjeux patrimoniaux, historiques et paysagers des plages du débarquement sachant que les éoliennes seraient implantées en mer exactement là où se trouvaient concentrés les milliers de navires de la formidable opération Overlord du petit matin du 6 juin 1944.